Voici à titre d’exemple ce qui ressort du dernier atelier de février dernier, qui portait sur le thème : Notre rapport à l’argent influence-t-il la valeur que nous nous donnons ?
Ce thème est venu chercher chacune dans sa construction identitaire : l’éducation, les injonctions, les loyautés familiales, les prophéties autoréalisatrices et les expériences de la vie conduisent les femmes à être très dures envers elles-mêmes. Elle se sentent coupables de ne pas avoir réussi à constituer un patrimoine, de ne pas être un bon modèle de gestion du budget pour leurs enfants, de dépenser trop pour certaines, d’être trop économes pour d’autres ; dans tous les cas, le jugement est le même : « je suis nulle ».
Alors que faire ?
Dans ce groupe, les histoires sont apparues très reliées entre elles, une manifestation fréquente de la sororité sous-jacente.
Cette synthèse de la séance de février recoupe plusieurs constantes que l’on retrouve dans un grand nombre de nos ateliers :
Nos "best of" en termes de recommandation de lecture :
Le couple et l'argent - Pourquoi les hommes sont plus riches que les femmes, de Titiou Lecoq, L’iconoclaste Éditions
Le genre du capital de Bessière et Gollac, Ed. La Découverte